Dictée

Tous les mercredis après-midi, de 14h00 à 16h00,
Michelle BRULLEZ nous fait (re)découvrir le charme de la dictée avec ses règles de grammaire, ses conjugaisons au subjonctif présent, passé, ses mots jamais ou peu entendus à la syntaxe pas évidente.
10 fautes, 20 fautes, 30 … ! Peu importe, ce sont 2 heures palpitantes passées dans la bonne humeur, et en plus, ici on ne copie pas ses fautes en 25 exemplaires comme c’était le cas à l’école primaire.
Merci Michelle.

La dictée vous sera lue par Michèle dès le mercredi 5 octobre à 14h00

10e Concours national de dictée à Valençay

Voir l’article sur le site de Génération Mouvement: Concours de dictée à Valençay

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Voir l’article sur la grande dictée ludique à Tours:

La grande dictée ludique à Tours le samedi 18 mars 2023

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La dictée, c’est leur passion

La république du Centre Publié le 16/01/2023

La dictée, c’est leur passion
Des participants très concentrés. © Droits réservés

La dictée est devenue un passe-temps hebdomadaire pour une vingtaine de seniors.

Au sein de l’association le Temps des loisirs de Saint-Cyr-en-Val, Michèle Brullez a eu l’idée, il y a trois ans, de créer un atelier consacré à la dictée. Une vingtaine d’adhérents se retrouve ainsi chaque semaine pour se soumettre à une dictée aux difficultés diverses : grammaire, vocabulaire, calembours, etc.

« La dictée est une vraie passion. Je participe à des concours dans la catégorie champion. Je me déplace à Dreux, Orsay, Dieppe, Alençon… », raconte Michèle Brullez. Et de poursuivre : « Peut-être qu’à terme, nous pourrions participer au concours départemental dans le Loiret, avant de nous hisser au niveau régional, mais il y existe très peu de clubs », reconnaît l’animatrice qui possède 1.550 dictées de tous niveaux de difficultés. Une bonne dictée ? « Il faut d’abord que l’histoire intéresse les personnes. Le texte doit compter environ 350 mots avec, par exemple des subjonctifs. C’est ainsi que la dernière dictée, une fable de La Fontaine, La Grenouille et le rat a été volontairement transformée. » « Cela fait travailler les neurones ! »

Dans l’atelier, l’ambiance est plutôt conviviale. « Aujourd’hui, j’ai fait une vingtaine de fautes ; c’est déjà très bien. En fait, il faut surtout comprendre le sens du texte avec les calembours, des mots doubles, il faut être attentive aux tirets, aux accords et aux règles particulières de l’orthographe… Cela demande beaucoup de concentration, mais cela fait travailler les neurones ! », confie Liliane qui participe à l’atelier depuis quelques semaines.

Huguette, elle, vient depuis un an, « surtout pour la bonne ambiance ».

« J’y retrouve des amis et aussi, j’apprends des nouveaux mots. La correction des dictées est souvent un moment assez drôle car il est difficile parfois de comprendre les calembours », confie-t-elle.